Letitre du film rappelle bien sûr l’un des plus beaux films de Jacques Rivette, Céline et Julie vont en bateau.Et puis il y a dans cette déambulation nocturne dans Paris en temps réel
Synopsis Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour 11Production et distribution 4Box Office cumuléBox Office chronologieSorties à l'international 6PaysDistributeurAcheteurDate de sortieTitre localDésolé, aucun résultat ne correspond à votre 11Générique détaillé 15Mentions techniquesLong-métrageSous-genres Drame, RomanceLangue de tournage FrançaisAutre pays coproducteur FranceNationalité 100% français FranceAnnée de production 2016Sortie en France 27/04/2016Etat d'avancement SortiType de couleurs Couleur Àpropos Théo et Hugo dans le même bateau DRAME Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant. 92 % -16 HD Drame 1 heure 36 minutes 2016 4,7 • 6 notes Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant. Louer 3,99 € Acheter 9,99 € Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant. Louer 3,99 € Acheter 9,99 € Bande-annonce Distribution et équipe technique Informations Studio Ecce Films Genre Drame Sortie 2016 Copyright © 2016 Ecce Films Langues Principale Français Dolby, Stéréo D’autres ont aussi acheté Films inclus dans Drame
Théoet Hugo dans le même bateau. Un Long-métrage de Olivier Ducastel, Jacques Martineau. Produit par Ecce Films. Sortie en France : 27/04/2016. Synopsis. Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux
Marque Hugo Boss Serie Hugo Boss HUGO Sous-collection Hugo Boss HUGO Theo Numéro de modèle 50478506-001 EAN 4063534981593 Sexe Hommes Type de portefeuille Portefeuille Zippé Couleur Noir Matériau Cuir Type de cuir Lamsleer Compartiment transparent Non Garantie 1 an sur erreur de production Chez Brandfield, vous achetez les meilleurs Hugo Boss portefeuilles, comme ce Hugo Boss HUGO Theo Black Ritsportemonnee 50478506-001. Acheter un Hugo Boss portefeuille chez Brandfield est sûr et facile dans notre boutique en ligne. Nous sommes un distributeur officiel Hugo Boss de portefeuilles. Vous bénéficiez de la garantie standard de 1 an sur erreur de production. Découvrez la collection complète de Hugo Boss portefeuilles dans notre boutique en ligne.
Théoet Hugo dans le même bateau est un film simple, qui raconte simplement le début d’une histoire d’amour, mais avec une honnêteté et une sincérité qui frappent. À travers ces personnages jamais stéréotypés, pris dans un drame où la peur et la joie alternent de façon assez vraisemblable, nous touchons à un réalisme très fidèle, qui veut s’écarter de toute convention Synopsis Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant. Sortieen salle le 27/04/2016 interdit -16 ans Un film de Jacques Martineau, Olivier Ducastel avec Geoffrey Couet, François Nambot Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l'emportement du désir et l'exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes dégrisés, dans les rues Cinéma La sensuelle séquence d’ouverture du film de Ducastel et Martineau ne tient pas toutes ses promesses. Reste une promenade entre Strasbourg-Saint-Denis et Stalingrad. Article réservé aux abonnés L’avis du Monde » – pourquoi pas Il est beau, le lancement du bateau de Théo et Hugo. C’est un de ces vaisseaux nocturnes et parisiens, illuminé de rouge, dans la cale duquel des hommes se retrouvent pour faire l’amour. Théo Geoffrey Couët semble un peu intimidé, comme s’il venait là pour la première fois ; Hugo François Nambot se meut avec grâce et assurance. Dans cet intérieur, entre lupanar et abri antiatomique, quelque part vers Strasbourg-Saint-Denis, ils se caressent, se pénètrent. Olivier Ducastel, Jacques Martineau et le chef opérateur filment cette séquence qui paraît très longue mais dure moins d’une demi-heure, sans simulacre apparent, avec une attention soutenue et complice. Les gestes sont chorégraphiés, juste assez pour élever le moment au-dessus de la trivialité, sans remettre en cause la spontanéité du geste. Et le moment lui-même apparaît ainsi riche de toutes les possibilités, qu’il reste un instant de grâce sans suite ou le début d’une histoire. Documentaire prophylactique Ce qui vient après n’est pas un naufrage, mais c’est comme si le paquebot se transformait en canot de sauvetage. Le parti pris est celui du temps réel », une illusion qu’il faut manier avec prudence, tant elle oblige à comprimer dans le temps si rapide du cinéma toute la lenteur du quotidien, fût-il nocturne. Ducastel et Martineau suivent Théo et Hugo à la sortie de la boîte, saisissent les galanteries qu’ils échangent avant que ne se noue un conflit le premier ne s’est pas protégé, le second est séropositif. Ils suivent un itinéraire fléché dans l’Est parisien entre canal Saint-Martin et Stalingrad, passant par l’hôpital Saint-Louis où ils mettent en place le palliatif à la négligence de Théo. Malgré l’engagement des deux comédiens, malgré la complaisance du décor, la liberté de la séquence d’ouverture s’est évaporée. La visite à l’hôpital se voit comme un documentaire prophylactique, les tentatives d’humour tombent à plat. Ce n’est que par instants que Théo et Hugo retrouvent le sens du danger et l’intensité qui présidèrent à leur rencontre charnelle. Film français d’Olivier Ducastel et Jacques Martineau avec Geoffrey Couët et François Nambot 1 h 37. Sur le Web Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. Théo& Hugo dans le même bateau (France 2015), film de Olivier Ducastel, Jacques Martineau avec Geoffrey Couët, Mario Fanfani, François Nambot, Bastien Gabriel - THéO & HUGO DANS LE MêME BATEAU (Drame) - Cinema, film à l'affiche Accueil / DVD / Théo & Hugo dans le même bateau 19,90 € Un film de Olivier Ducastel et Jacques Martineau 2016 - France - 97 min - Numérique - Couleur - - Son - Visa n° 143 273 Avec Geoffrey Couët, François Nambot Édition sortie le 22 novembre 2016 Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant. Suppléments Entretiens et avant-premièreExtraits du castingbio-filmographiesGalerie photosBande-annonce Détails techniques Durée 97’Durée totale 130’Langue françaisSous-titres anglais / français pour sourds et malentendantsSon Dolby digital / Stéréo 16/9 Plus d'infos Bande-annonce Your browser does not support the video tag. Équipe technique Réalisation Olivier Ducastel & Jacques Martineau Scénario Olivier Ducastel & Jacques Martineau Image Manuel Marmier Son Tristan Pontécaille Montage Pierre Deschamps Mixage Victor Praud Décor Barnabé d’Hauteville Producteur Emmanuel Chaumet Production Ecce Films Distribution Epicentre Films Équipe artistique Geoffrey Couet Théo François Nambot Hugo Georges Daaboul Vendeur Syrien Elodie Adler Infirmière Claire Deschamps Interne Jeffry Kaplow Voisin râleur Marieff Ditier Femme du métro À propos Olivier Ducastel Passionné par le 7e art, Olivier Ducastel passe son adolescence à Rouen et, après des études de cinéma et de théâtre à l’université, intègre l’IDHEC. En 1987, il tourne Le Goût de plaire, court métrage qui révèle déjà son amour pour la comédie musicale. Assistant sur le dernier film de son maître Demy Trois places pour le 26 en 1988, Ducastel travaille comme monteur ou mixeur sur des films de Kanevski, Chahine ou encore Christine Pascal. En 1995, Olivier Ducastel fait la connaissance de Jacques Martineau. Tous deux se lancent dans l’écriture et la réalisation d’un premier film très audacieux, Jeanne et le garçon formidable, présenté à Berlin en 1998. Jacques Martineau Après avoir passé son adolescence à Nice, Jacques Martineau entame des études de lettres. Diplômé de l’ENS et agrégé, il rédige une thèse sur l’Opéra et l’amour dans La Comédie humaine de Balzac. Ce passionné de musique, qui a pris des cours de chant lyrique au Conservatoire de Boulogne- Billancourt, enseigne la littérature à l’Université de Nanterre, activité qu’il poursuivra parallèlement à sa carrière de réalisateur. En 1995, Jacques Martineau fait la connaissance d’Olivier Ducastel, monteur qui a notamment travaillé sur 3 places pour le 26. Tous deux se lancent dans l’écriture et la réalisation d’un premier film, Jeanne et le garçon formidable comédie musicale inspirée des films enchantés de Demy, cette oeuvre légère, émouvante et discrètement militante, conte l’histoire d’amour entre une jeune fille Virginie Ledoyen, et un garçon atteint du Sida Mathieu Demy. Revue de presse Ouvert par une magnifique séquence érotique, un film à la puissance empreinte de grâce. » LE MONDE Un pari réussi, entre images électrisantes et déambulation nocturnes. » L’HUMANITÉ Le film le plus osé formellement des réalisateurs, offrant de subtils et délicats moments. » LIBÉRATION Une œuvre émouvante et enjouée. » SUD-OUEST Un superbe exercice de mise en scène, un regard franc et généreux sur l’amour gay, un hymne à la jeunesse de deux garçons d’aujourd’hui et à celle, éternelle, du cinéma. » TÉLÉRAMA L’espoir existe. Théo et Hugo raconte la naissance de l’amour au beau moment où le jour se lève. » LES INROCKUPTIBLES Les deux comédiens, épatants, n’hésitent pas à se dévoiler physiquement avant de laisser parler leurs sentiments. » 20 MINUTES Un petit miracle de cinéma qui deviendra un classique. » CLAP MAG Un récit poignant au romantisme naïf auquel il est réconfortant de croire. » STUDIO CINÉ LIVE Théo & Hugo dans le même bateau a la trempe des films qui laissent des traces dans l’histoire du cinéma gay. On ne sort pas indemne de cette œuvre radicale. » TÊTU Un film suscitant l’émerveillement devant la pure sexualité. » TRANSFUGE Entre Nouvelle Vague et Red Room, le film joue la carte du temps quasi réel » et de la fausse légèreté. Une franche réussite tous à bord ! » BANDE À PART Le film gay le plus important depuis L’inconnu du Lac, une formidable proposition de cinéma alternatif. » Un film aussi poétique que charnel dans un Paris nocturne où planent le souvenir d’Agnès Varda et l’ombre d’Orphée. » Tendre sans être naïf, cru sans provoquer gratuitement, Théo et Hugo dans le même bateau est une drôle de partie de cache-cache qui mine de rien révèle beaucoup de choses. » La scène initiale, magnifiquement éclairée, chorégraphiée et suffocante, installe le spectateur au cœur d’une tension qui ne va pas faiblir. Un pari de l’amour fou réussi. » Prodigieux. Ce film nous rend vivant. » FRANCE CULTURE/LA DISPUTE Festivals Berlinale 2016 – Panorama Mardi Gras Film Festival Sydney 2016 Festival Internacional de Cine Guadalajara 2016 Febiofest Prague 2016 BFI Flare Londres 2016 TLVFest Tel Aviv 2016
Onapprécie aussi le fait que le temps de l’intrigue de Théo et Hugo dans le même bateau corresponde exactement à la durée du film. Théo & Hugo dans le même bateau - Sortie le 27 Avril 2016 Réalisé par Olivier Ducastel et Jacques Martineau Avec Geoffrey Couët et François Nambot. Fil actus . 24 mai 2022. Les festivals qui vont rythmer notre mois de juin.
Naissance de l´amour en temps réel, par Ducastel et séquence d’ouverture, une vingtaine de minutes dans un sex-club de la capitale française, est impressionnante rien ne nous avait vraiment préparés, dans la filmographie d’Olivier Ducastel et Jacques Martineau, à une observation aussi crue et juste du sexe entre mecs dans ce qu’on appelle familièrement une “boîte à cul”. Découpage énergique, rapports non simulés, musique tapageuse de Karell & Kuntur et lumière stroboscopique – tout concourt à une exploration réussie de ce qui fait, “souvent” selon le duo de réalisateurs ainsi qu’ils l’expliquent en dossier de presse, la première rencontre de deux hommes homosexuels. C’est donc là, dans une caverne de débauche et d’épanouissement des corps, qu’Hugo et Théo se rencontrent, étreintes passionnées et coït fiévreux après qu’un regard ardent un eye contact prolongé les a plongés dans les bras l’un de l’autre. Il est quatre heures du matin, ils n’ont “pas bu tant que ça” ; le club les rejette vingt minutes plus tard sur les trottoirs du 2e arrondissement, il est 4h20 et peut-être l’heure d’apprendre à mieux se connaître, ailleurs. Sauf qu’Hugo est séropositif, et que dans le feu de l’action, Théo a oublié de mettre une capote ; d’où panique – même en 2016, le VIH est toujours une réalité. S’ensuit une bonne demi-heure de course aux urgences de l’hôpital Saint-Louis, qui fait curieusement ressembler le film à un tract Sida Info Services tout y passe, de l’appel au Numéro Vert dédié à l’explication minute par minute de l’infirmière de garde. Ce n’est pas la partie la plus réussie de Théo & Hugo vont en bateau dont le titre emprunte au Céline et Julie vont en bateau 1974 de Rivette et qui lorgne, pour le côté temps réel, vers le Cléo de 5 à 7 1962 de Varda, même si la tension est palpable et rappelle l’engagement louable des réalisateurs pour la lutte contre la maladie on se souvient du joli Jeanne et le garçon formidable en 1998. Ce qui vient ensuite interpelle plus, juste déambulation dans les rues de l’Est de Paris qui dresse, l’air de rien, la topographie de la ville dans ce qu’elle est aujourd’hui, et telle que les jeunes gens modernes la parcourent du canal Saint-Martin jusqu’à la place Stalingrad, où l’on s’arrête prendre un kebab servi par un immigré syrien qui a un avis sur le conflit en cours dans son pays ; en attendant le premier métro, où l’on croise la plus toute jeune femme qui part faire le ménage dans les hôtels de luxe. C’est le goût de Ducastel et Martineau pour “le vrai Paris” et “les vrais Parisiens”, tels que le sont eux-même Théo et Hugo, bien conscients du fait que, plus tard, ils se sépareront sans doute mais qui, audacieux, se disent qu’une histoire d’amour, pour l’heure, pourrait valoir la peine. HUziFs4.
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  • theo et hugo dans le meme bateau