Mathieu Sicard Initialement prévue pour lutter contre les déserts médicaux, la téléconsultation est en train de devenir l'une des armes principales dans la lutte contre la propagation de l'épidémie du coronavirus. Que vous souhaitiez consulter parce que vous présentez les premiers symptômes du Covid-19 ou pour toute autre raison, voici la procédure à pour la téléconsultationD'un appareil impérativement muni d'une webcam. Cela peut -être Un ordinateurUne tablette Un smartphoneLa téléconsultation aura ensuite lieu directement par les moyens de Doctolib. Nul besoin donc ici de s'équiper de Skype ou Facetime. Vous devez en revanche disposer d'une connexion optimale. Si votre téléphone n'est pas au top, vous pouvez également téléconsulter depuis une pharmacie ou un centre de santé. En outre, équipés de balance, stéthoscope et autres instruments de mesure, la téléconsultation pourra être plus complète. Connectez-vous au site de Doctolib ou sur l'application téléphone à télécharger ici pour Android et ici pour iOS.Dans la page d'accueil, tapez "généraliste" ou la spécialité recherchée et votre ce soit sur le site internet ou sur l'application, sous trouverez sous le nom des médecins pratiquant la téléconsultation un logo de caméra ainsi que la mention "consultation vidéo disponible" sur le site internetChoisissez le médecin de votre convenance sans oublier de cocher la mention prendre un rendez-vous de consultation vidéo » sur l’application ou de cocher la mention en vidéo » sur le site interneEnsuite, entrez votre identifiant et mot de passe. Ou créez un compte si vous n'en avez pas encoreIl s'agit maintenant de confirmer votre identité et remplir une petite fiche info si c'est la première fois que vous utilisez Doctolib, puis de confirmer votre RDVPuis entrez vos coordonnées bancaires, pour les futurs confirmez le RDVLe jour de mon RDVQuelques rappels de base Veillez à ce que votre smartphone ait la batterie suffisante pour tenir tout au long de la consultation une meilleure qualité de son et d’audio, il est recommandé d'utiliser un casque avec votre mobile face à vous, si possible contre un support stable, pour garantir la meilleure qualité de la à ce que la consultation vidéo se tienne dans un endroit calme et permettant de respecter la confidentialité de la attention aux reflets de l’écran ou autres sources de lumières sur vos lunettes et au de la téléconsultationVous pouvez lancer une consultation vidéo 10 minutes avant l'horaire du rendez-vous.► À partir de votre smartphone depuis Le lien contenu dans le SMS reçu 10 min avant la consultationLa page de confirmation suite à une prise de rendez-vousLa rubrique Mes rendez-vous, dans votre compte patient ► À partir de votre ordinateur, depuis La rubrique Mes rendez-vous, dans votre compte patient► Démarrer une consultation vidéo depuis le SMS Vous recevez un SMS 10 minutes avant le début de la consultation vidéo contenant un lien pour lancer la consultation vidéo. Cliquez sur le lien pour rejoindre la salle d'attenteCliquez sur Démarrer la consultation vidéo pour rejoindre la salle d'attente sur Autoriser l'accès caméra + microphone.Le diagnostic de votre micro, caméra et connexion internet se lance automatiquement, une fois terminé cliquez sur Rejoindre la consultation vidéo pour entrer dans la salle d'attente accédez alors à la salle d'attente virtuelle et votre praticien est notifié de votre noter - Le praticien peut avoir du retard. Restez connecté et ne raccrochez pas. En cas de retard du praticien, celui-ci reçoit des notifications régulières toutes les 2 minutes pour l'informer de votre présence dans la salle d'attente virtuelle. Il a également la possibilité de vous prévenir par SMS du temps de retard le praticien rencontre un retard pour démarrer votre consultation vidéo, un message vous informant du délai de son retard apparaîtra directement sur la fenêtre de la salle d'attente virtuelle. ► Démarrer la consultation vidéo depuis l'application ou le site mobile1. Rendez-vous sur votre application mobile ou sur le site mobile depuis votre vous passez par le site mobile depuis un smartphone Android, utilisez le navigateur Google Chrome,depuis un smartphone Apple, utilisez le navigateur Accédez à votre compte en cliquant sur le bonhomme en haut à droite. Si vous n'êtes pas connecté, renseignez vos identifiants et cliquez sur se connecter. 3. Une fois sur votre compte, accédez à la rubrique Mes rendez-vous. 4. Dans Rendez-vous à venir, cliquez sur Démarrer la consultation vidéo pour rejoindre la salle d'attente virtuelle.► Démarrer une consultation vidéo depuis votre ordinateurAfin de garantir une expérience optimale, nous vous recommandons d'utiliser la navigateur Google Rendez-vous sur le site Accédez à la rubrique Mes Sélectionnez votre rendez-vous de consultation vidéo et cliquez sur Rejoindre la consultation Cliquez sur Autoriser l'accès afin de valider le bon fonctionnement de vos Autorisez le site à avoir accès à votre microphone afin que le praticien puisse vous Autorisez le site à avoir accès à votre caméra afin que le praticien puisse vous Enfin, cliquez sur Rejoindre la consultation vidéo afin de rejoindre la salle d'attente virtuelle. Le praticien sera informé de votre Si la connexion est interrompue, reprenez à partir de l'étape 1 afin de relancer la coûte une téléconsultation ?Le même prix qu'une consultation traditionnelle 25 € pour les médecins généralistes de secteur 1 et de secteur 2 adhérant au dispositif de pratique tarifaire maîtrisée, ou 23 € pour les généralistes du secteur 2 qui ne sont pas que cette téléconsultation est remboursée ?Oui ! Depuis le 18 mars, la téléconsultation est prise en charge à 100 % par l’Assurance maladie n'ai pas de médecin traitant ou le médecin avec lequel j'ai rendez-vous n'est pas mon médecin traitant ?Aucun problème, un décret du 10 mars, et valable jusqu'au 30 avril 2020, assoupli les règles de téléconsultation "L’obligation de passer par son médecin traitant est levée. Chaque patient pourra bénéficier d’une téléconsultation si nécessaire", précise le gouvernement.
Priseen charge à distance par. des médecins. 24h/24 et 7j/7. Recevez une première réponse sous 15 minutes *. Choisissez entre 3 moyens de communication pour vos téléconsultations. Échangez avec plusieurs médecins si nécessaire ( +35 spécialités) * moyenne sur le canal écrit.
Un arrêt maladie sans se déplacer » ? C’est ce que promet, depuis mardi 7, le site Déclinaison française d’un site allemand lancé en décembre 2018, la plateformese targue de fournir en quelques clics des arrêts de travail pour les pathologies courantes coups de froid, douleurs menstruelles etc. ». Après avoir répondu à un questionnaire sur ses symptômes et ses antécédents médicaux, l’internaute est mis en relation avec un médecin, qui lui remettra le sésame » sous forme de document PDF, le tout pour le prix d’une consultation en cabinet, soit 25 €. Une somme remboursable », promet la page d’ duperie, avertit la Caisse nationale de l’assurance maladie Cnam. Les arrêts de travail ne sont pas des produits de consommation, susceptibles d’être distribués sur demande des patients », dénonce-t-elle. L’organisme signale que la sécu » ne prendra nullement en charge ces consultations et se joint au Conseil national de l’ordre des médecins pour engager une action en référé contre le règles et des exceptionsEn vigueur depuis le 15 septembre 2018, le remboursement de la vidéo consultation répond à un certain nombre de règles fixées par la convention de l’assurance maladie. Sans quoi la consultation ne peut être remboursée. Première de ces règles la consultation doit se dérouler avec son médecin traitant ou à défaut, un praticien consulté dans les douze mois précédents. Un point fondamental selon Jean-Paul Ortiz, le président de la Confédération des syndicats médicaux français CSMF Une télé consultation de qualité est une télé consultation faite par un médecin qui connaît le patient, estime-t-il. On ne peut pas palper un abdomen à travers un écran, mais quand on connaît un patient, on peut repérer une attitude ou des gestes inhabituels. »Si quelques exceptions s’appliquent – en cas d’urgence ou pour certaines spécialités comme l’ophtalmologie ou la psychiatre –, la consultation à distance doit toujours s’effectuer dans le cadre d’une organisation territoriale ».Autrement dit, auprès de praticiens travaillant dans une certaine proximité géographique L’idée, c’est que le patient s’inscrive dans un parcours de soins, pas qu’il consulte un médecin à 500 km de chez lui qu’il ne reverra jamais, indique-t-on à la Cnam. Ça, ce n’est pas de la bonne médecine. »Téléconseil ou télémédecine ?C’est pourtant celle qui fleurit sur nombre de plateformes de téléconsultation. Livi, Qare, MesDocteurs… Elles se comptent aujourd’hui par dizaines. Ce sont des sociétés commerciales qui font du téléconseil, pas de la télémédecine », dénonce Jean-Paul Ortiz. À ce jour, seul le site Medadom, accessible en pharmacie via des bornes, répond aux exigences de l’Assurance maladie. Comme tout service nouveau, la téléconsultation va sûrement nécessiter quelques ajustements », reconnaît le docteur Jean-Marcel Mourgues, à la tête de la Section Santé publique du Conseil national de l’Ordre des médecins. Ce dernier insiste néanmoins sur les progrès que représente cette pratique, dans un contexte de prévalence des pathologies chroniques, de vieillissement de la population et de diminution de la démographie médicale ».
Gynécologueobstétricien à Paris. Trouver un spécialiste gynécologue à Paris, une colpopscopie à Paris ou une hystéroscopie diagnostique à Paris (75) peut être parfois une mission difficile. Plusieurs plateformes internet existent aujourd’hui (Doctolib etc.., ) et présentent un choix de gynécologues, leurs photos ainsi que leurs disponibilités.
attaqué par l’assurance maladie Publié le 11/01/2020 Le site qui met en avant la possibilité de donner après téléconsultation des arrêts de travail jusqu’à trois jours est attaqué en justice par l’assurance maladie. Décryptage de ce nouveau service qui fait polémique. Lancé tout début janvier, le site est dans le viseur de l’assurance maladie et de l’Ordre des médecins. Une action en justice est en cours pour tromperie. Il faut dire que le concept, lancé par un avocat allemand, est osé. Le nom, ainsi que l’annonce sans détour Arrêt maladie sans se déplacer » sur la page d’accueil, font miroiter l’obtention en quelques clics, 7 jours sur 7 et sur simple demande, de trois jours off » comme on ferait ses courses. Le tout sans le désagrément du délai de rendez-vous et de l’attente au cabinet d’un médecin. L’esprit marketing décomplexé de la démarche a de quoi surprendre. En pratique, l’utilisation du site est effectivement un jeu d’enfant. Après avoir choisi entre coup de froid et gastroentérite les autres options comme cystite ou douleurs de règles ne sont pour le moment pas actives, l’internaute doit cocher ses symptômes diarrhée, fièvre supérieure à 38,5 °C, etc., indiquer s’il a un médecin traitant disponible dans un délai raisonnable, avant d’être renvoyé vers une téléconsultation avec un médecin. Il y a donc bien un contrôle professionnel de la demande, il ne s’agit pas d’un self-service. Tout est légal, puisque la téléconsultation est codifiée et promue depuis 2018 par l’assurance maladie elle-même, et qu’elle peut effectivement se solder par un arrêt de travail et/ou par une ordonnance de soins. À envoyer à l’employeur, dans les délais et conditions habituels. Reste que, dans cette configuration, le médecin consulté ne connaît pas vraiment la personne qui le sollicite. Il ne sait pas avec certitude quel métier elle exerce et si son affection l’empêche réellement de se rendre au travail. Pour éviter les dérives et les abus, des restrictions sont prévues. L’arrêt accordé ne peut pas excéder les trois jours. Un délai de trois semaines doit être respecté entre chaque arrêt, et le nombre d’arrêts est limité à quatre par an. Remboursables ou non les 25 € ? Du point de vue des finances publiques, l’impact n’est pas démesuré. En raison du délai de carence dans le secteur privé, un arrêt de trois jours n’est pas couvert par la sécu le salarié n’est pas payé, ou alors c’est son employeur qui couvre le manque à gagner. Dans la fonction publique, deux jours, sur les trois possibles, peuvent être pris en charge, car le délai de carence n’est que d’une journée. Le débat porte sur les 25 € payés pour la consultation. laisse entendre qu’ils sont remboursables. Or, légalement, une téléconsultation n’est prise en charge que dans le parcours de soins si le médecin consulté n’est pas le médecin traitant, elle n’est pas couverte. Toutefois, il y a des exceptions en cas d’indisponibilité, un autre médecin, indiqué par le médecin traitant, peut être sollicité. Mais il doit faire partie d’une organisation collective coordonnée territoriale », c’est-à -dire par exemple une maison de santé pluriprofessionnelle MSP. En toute logique, une téléconsultation via ne devrait pas être remboursée. Suite à l’action en justice lancée par l’assurance maladie, c’est sur ce point que le tribunal se prononcera. La page d’accueil d’
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